Durant l’été sa s’active du côté de l’Electronic Sport League (ESL). Le principal organisateur de tournoi du vieux continent et le leader mondial dans le domaine, vient d’annoncer que des tests anti-dopage seront réalisés pendant ses compétitions.
Cette décision survient après les révélations faites par Kory « Semphis » Frisen, ancien joueurs des Cloud9, qui déclarait qui lui et ses coéquipiers prenaient de l’Adderall. Un psychostimulant qui booste les facultés de concentrations.
L’Adderall est un médicament assez facile à se procurer aux Etats-Unis.Devant ces révélations l’ESL réagit et proposera dès l’ESL One de Cologne, le 20-23 août, des tests salivaires pour déceler certaines substances. Si un joueur est contrôlé comme positif, des sanctions pouvant aller de la réduction du cashprize /points jusqu’à l’exclusion pendant une durée de deux ans de tous les tournois estampillés ESL. Une phase de test importante, et qui devraient selon les résultats, devraient éclairés le chemin concernant la politique à suivre dans ce domaine.
Etablissement d’un classement mondial
Autre point, l’établissement d’un classement mondial pour les meilleures équipes. Jusqu’à alors plusieurs tentatives venant d’observateurs extérieurs ont été réalisés sans jamais faire l’unanimité. Si encore une fois certain critères peuvent paraitre partiaux et ne satisfont pas tout le monde, ils ont le mérite de venir de la ligue.
Le classement se base sur des points gagnés en fonction des performances réalisées en tournois. Chaque joueur engrange des points, la structure également. Pour voir l’ensemble des règles.
Un classement qui peut servir de base comparative. Un bel outil pour de nombreux observateurs.